top of page
  • Photo du rédacteurCOCKPIT

La première Aston Martin DB5 Goldfinger Continuation est fin prête

C'est 007 qui sera contant, la première réplique de l'Aston Martin DB5 (dont la version de base a été produite de 1963 à 1965 à 1 021 exemplaires) parue dans le film « Goldfinger » en 1964 et conduite par le plus célèbre agent secret interprété par Sean Connery, est sortie des ateliers d'Aston Martin Works installés à Newport Pagnell, dans le Buckinghamshire en Angleterre.



Ainsi, 26 répliques quasis identiques seront produites, 25 seront vendues alors que la 26ème sera présenté aux enchères au bénéfice d'une œuvre caritative. Il faudra cependant débourser la coquette somme de 2.75 millions de livres l'unité (environ 3.17 millions d'euros HT) pour pouvoir espérer prendre place de l'agent spécial. Un montant conséquent pour un modèle non homologué pour la route, mais les futures heureux propriétaires pourront s'amuser à utiliser les immémorables gadgets que cache cette préparation, de quoi s'y prendre pour le vrai agent, mais ça c'est un secret.



La « Job 1 », le nom donné à ce premier châssis DB5 Goldfinger Continuation, a nécessité 4 500 heures d'assemblage. Chaque châssis DB5 Goldfinger Continuation accueille en effet les mêmes gadgets que ceux imaginés dans « Goldfinger » par « Q », le responsable de la division recherche et développement du MI6.

Ces gadgets conçus en collaboration avec Chris Corbould, un spécialiste en effets spéciaux reconnu, qui comprennent notamment des plaques d'immatriculation amovibles, une plaque de protection rétractable protégeant la lunette arrière des attaques par balle, un système de projection de fumée, des clignotants arrière rétractables (capable dans le film, de projeter de l'huile), ou encore des mitraillettes factices installées sur la calandre avant.

Dans l'habitacle du modèle, ses occupants trouveront enfin un faux écran radar, un téléphone, un compartiment rangement caché sous le siège conducteur, un écran radar ou encore un levier de vitesse équipé d'un bouton pouvant actionner l'un des gadgets présents sur le véhicule.

Cependant, la DB5 du film comprenait en plus un siège éjectable (côté passager) qui ne figure pas sur ce modèle Continuation, mais le propriétaire de cette version moderne pourra malgré tout l'équiper d'un panneau de toit amovible (en option).



Sous le capot en aluminium revêtue d'une livrée « Silver Birch », une motorisation 6 cylindres 4.0 litres développant plus de 290 ch, associée à une boîte manuelle ZF à 5 rapports ainsi qu'à un différentiel à glissement limité, il fallait bien ça pour pousser le rêve à son maximum, mais Chut ! on vous a rien dit.




0 commentaire

Posts récents

Voir tout